Texte écrit le 30 janvier 2012
Nous sommes lundi.
J’aime me lever tôt le matin, ouvrir la porte de la terrasse et entendre
le bruit des vagues se frapper sur la rive.
Les fontaines du plan d’eau ne sont pas fonctionnelles avant 8 h 00 les
jours de semaine.
Aujourd’hui, il semble que ce sera une autre journée
couverte. Beaucoup de nuages dans le
ciel. Finalement, les nuages ont décidé
d’aller voir ailleurs et il fera encore très beau. J’ai commencé à écrire ce mot vers 9 h 20 et
le soleil tape déjà très fort. Il fait
chaud pour prendre un café sur le balcon.
Michel nous a bien fait rire ce matin. Il nettoyait les coupes de vin laissées sur
l’armoire hier soir après le souper – ainsi que les verres de jus du jour. Il nous disait que je devrais prendre une
photo de lui en train de faire la vaisselle pour prouver au monde que nous le
traitions en esclave! Comme je ne
bougeais pas, il est allé prendre la caméra pour nous prendre en photo Michèle
et moi assises sur les fauteuils sirotant notre petit café. Et ensuite, il a retourné la caméra vers lui
pour se capter lui-même “suant“ au-dessus de l’évier de cuisine. Voici la preuve d'un homme au travail.
Le martyre de service |
La pensée du jour de Señora Michèle: Chaque aujourd’hui est
un nouveau jour.
Le gardien de sécurité à la barrière de la plage
trouve l’air un peu frais cet après-midi.
Il fait plus de 27 degrés; c’est vrai, il y a plus de nuages que les
jours précédents, mais nous sommes bien, vraiment très bien.
Je lui réponds que nous ne ressentons pas ça!! Jour de farniente!
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire